OM-AJA : Roux ou l’art du contre

C’est donc désormais un authentique qualifié pour la Ligue des Champions que nous recevons dimanche au crépuscule naissant. Un heureux élu qui va avoir droit au pactole de cette compétition : 3,75 millions d’euros si on perd tous les matchs. On ajoute 340 00 euros par victoire plus les droits télés. Y paraît qu’avec tout […]

C’est donc désormais un authentique qualifié pour la Ligue des Champions que nous recevons dimanche au crépuscule naissant. Un heureux élu qui va avoir droit au pactole de cette compétition : 3,75 millions d’euros si on perd tous les matchs. On ajoute 340 00 euros par victoire plus les droits télés. Y paraît qu’avec tout cet argent, Auxerre devrait se renforcer avec Sablé et un attaquant. Guy Roux, le faux-dévot du gazon vert, dément et dit qu’il faut économiser pour l’année prochaine. C’est pas un bonnet qu’il a sur la tête, c’est son bas de laine… Lui chez La Fontaine, on n’aurait pas pu lui refiler le rôle de la cigale. Je doute du reste que l’homme chante juste. Ou alors peut-être la Marseillaise…
Les bourguignons ont souffert face aux lusitaniens de Boavista. Ils sont restés longtemps campés dans leur moitié de terrain mais ont su résister grâce à une grande partie de leur gardien Fabien Cool. Ils auraient même pu l’emporter en seconde période grâce au tout nouvel international Narcisse Olivier Kapo. Ils ont montré, une fois de plus, leur propension a évolué en contre…
Chez nous, au sein du nouvel home sweet home de la Commanderie, çà baigne à part quelques pépins. Ecker, toujours convalescent, ne devrait pas tenir sa place dimanche. Fernandao, la grande révélation de ce début de saison dans son nouveau rôle, reprend doucement l’entraînement. Hier, Leboeuf a été ménagé. Quoiqu’il en soit, c’est une équipe galvanisée par sa victoire en terre bretonne que Perrin devrait aligner en ce jour du Seigneur. Attention cependant à ne pas tomber dans le piège tendu par le sorcier ajaïste. Il n’aime rien moins que de voir son équipe dominée puis de frapper brutalement là où çà fait mal…