Lille Olympique, l’enfer du jeu…

A l’heure d’affronter la Vahid Company, on est en droit de se demander comment piéger les mangeurs d’herbe de Grimonprez-Jooris . On a déjà ici, dans ces colonnes, évoqué largement leur propension à pourrir le match, à ennuyer la galerie mais à finalement s’imposer par le plus petit des écarts sans avoir rien encaissé si […]

A l’heure d’affronter la Vahid Company, on est en droit de se demander comment piéger les mangeurs d’herbe de Grimonprez-Jooris . On a déjà ici, dans ces colonnes, évoqué largement leur propension à pourrir le match, à ennuyer la galerie mais à finalement s’imposer par le plus petit des écarts sans avoir rien encaissé si ce n’est la prime de fin de match! On se souvient aussi de Gregory Wimbée, le miraculé, donné perdu pour le football de haute compétition, étant donné la piètre qualité de ses performances, et qui renaît en début de siècle après la blessure grave de son concurrent Teddy Richert. Désormais campé sur la ligne de but de sa cage tel un véritable bernard-l’hermite, il gobe désormais avec l’ensemble de son corps la plupart des ballons qui voudrait bien tâter du filet… Alors, de grâce, messieurs les goléadors phocéens, qu’on arrête de lui tirer dessus, qu’on évite le bois vermoulu de ses montants mais qu’on nettoie plutôt toutes les toiles d’araignée qui squattent les dessous de sa transversale!