Reims – OM : les notes du match
– Mandanda (5) : Pas grand chose à mettre sous la dent si ce n’est le sauvetage devant De Préville et Ayité (66eme) en seconde période avant de rester scotché sur le but rémois. On a déjà vu malgré tout du meilleur Mandanda dans le passé.
– Fanni (5,5) : On comprend mieux pourquoi Didier Deschamps ne l’appelle pas. Des interventions pas très sereines, mais toutefois un apport offensif indéniable. Il est d’ailleurs présent sur l’action du but égalisateur.
– Nkoulou (6) : Solide comme d’habitude, l’international camerounais a tenté de colmater les brèches. Toutefois, quelques relances dangereuses et un marquage large sur le but rémois.
– Mendes (5) : Que dire. Il fait avec ses moyens. Complètement à la ramasse sur le but champenois. Il avait été pourtant satisfaisant jusque-là.
– Morel (6) : Une des rares satisfaction de ce match. Très critiqué, Jérémy Morel s’est montré très sérieux et appliqué sur son côté gauche.
– Romao (4,5) : Brouillon et débordé par ses homologues rémois, l’ancien Lorientais a été l’un des plus mauvais olympien sur ce match. N’a pas du tout pesé sur le milieu de terrain de son équipe.
– Cheyrou (6) : A très régulièrement comblé les manques de son coéquipier du dessus. Jouant haut, il a pu couper quelques actions adverses et orienter le jeu. A tenter sa chance en fin de première période sans réussite. Un bon Cheyrou sur cette rencontre.
– Ayew (5) : S’il se démène, encourage, replace ses coéquipiers, cette dispersion lui joue des tours et le Ghanéen en devient presque moyen. Auteur toutefois de la passe décisive pour le but de Gignac.
– Valbuena (4,5) : Il a tenté d’alterner jeu court et jeu long mais sans réussite. Pas assez utilisé par ses partenaires également, il est bien loin du Valbuena flamboyant qu’on a pu connaître dans le passé.
– Payet (5,5) : un match correct de la part du réunionnais. A été à l’origine de nombreuses offensives olympiennes (17eme, 25eme, 45eme). A beaucoup tenté. Etrangement remplacé par Thauvin à la 73eme. Ce dernier n’a eu le temps que de frapper une fois au but en fin de match.
– Gignac (6,5) : Une fois de plus, il a servi de point d’ancrage pour son équipe. Incisif dans ses tentatives, il a obligé Agassa à plusieurs arrêts. Et une nouvelle fois a beaucoup tenté et a été récompensé par son but qui permet de revenir avec un point.
