Grégory Schneider a réglé ses comptes avec l’arbitrage vidéo, sur les réseaux sociaux.
On ne peut pas dire que la VAR soit vraiment inspirée, cette saison, en Ligue 1. La faute aux hommes, et non à la technologie. « Avant, au moins, l’arbitre devait regarder dans les yeux les joueurs qu’ils venaient d’entourlouper. Avec le VAR, il n’a même plus ce (léger) désagrément. Il est là, tranquille, avec son sandwich au thon. À l’abri », a lâché le journaliste par le biais de son compte Twitter.
L’OM, comme d’autres clubs, a été victime de décisions (voire de non-décisions) assez aberrantes de la part de la vidéo, cette saison. L’arbitrage est peut-être simplement à l’image des instances françaises. C’est-à-dire loin d’être au niveau des joueurs et de la compétition dans laquelle il prétend intervenir.