Les instances ont annoncé que le match Lyon-OM allait reprendre. La préfecture Auvergne-Rhône-Alpes a indiqué que cela n’était pas sa décision.

Malgré l’agression d’un joueur, Dimitri Payet, la LFP et les dirigeants lyonnais font le forcing pour que le match reprenne. Le préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes s’est désolidarisé de leur décision. Elle n’est pas de son fait : « Suite à l’interruption provisoire du match #OLOM, une cellule de crise a rassemblé les autorités, les clubs et les arbitres. Contrairement à ce que certaines rumeurs laissent entendre, la décision de reprise du match n’appartient pas au préfet. Elle appartient au seul arbitre », a-t-il écrit sur Twitter.
La gestion de cet événement ressemble à celle de Nice : elle est scandaleuse. On peut shooter le meilleur joueur de l’équipe adverse, et le match reprend. Dans quel autre pays cela se passerait ainsi ? Certains dirigeants des instances jouent avec le feu…
Suite à l’interruption provisoire du match #OLOM, une cellule de crise a rassemblé les autorités, les clubs et le arbitres. Contrairement à ce que certaines rumeurs laissent entendre, la décision de reprise du match n’appartient pas au préfet. Elle appartient au seul arbitre.
— Préfet de région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône (@prefetrhone) November 21, 2021










