M. Pokora : « J’ai été piqué très jeune et ça ne m’a pas lâché »

M. Pokora s’est exprimé sur son attachement pour l’OM. Le chanteur suit le club phocéen depuis très longtemps.

Stade Orange Vélodrome

Dans les colonnes de La Provence, M. Pokora a tenté d’expliquer son amour pour la tunique olympienne. Le chanteur a succombé aux charmes de l’équipe olympienne dans les années Tapie : « Le Vélodrome, c’est le stade du club de ma vie et de mon enfance. J’ai grandi avec la grande équipe de l’OM, avec des joueurs comme Papin ou Waddle. J’ai vécu la grande époque de la Ligue des champions avec Deschamps et Desailly.Comme dirait Obélix, je suis tombé dedans quand j’étais tout petit. Depuis, cette passion se poursuit. J’ai été piqué très jeune et ça ne m’a pas lâché », a-t-il confié au quotidien. Il se rappelle d’ailleurs de sa première visite du Stade Orange Vélodrome : « C’était à la fin des années 1990. J’étais venu juste après la Coupe du monde. Je m’en souviens encore, c’était OM-Nantes avec ce célèbre coup franc de Laurent Blanc où le ballon rebondit sur la barre, tape Landreau et finit par rentrer. J’étais pas loin du quart de virage, proche du terrain, avec mon père et mon frère. »

« Il suffit de souffler dessus pour que tout s’embrase »

Le natif de Strasbourg ne voit d’ailleurs pas beaucoup de publics capables de rivaliser avec celui de Marseille : « Du dernier du classement au match contre le PSG, il y a toujours un engouement. À part quelques clubs en Grèce, en Turquie ou en Italie, rares sont les publics qui peuvent rivaliser avec celui de Marseille. En concert c’est pareil. Il suffit de pas grand-chose pour allumer le feu dans une salle. C’est un public participatif. Il y a cette envie d’être acteur du spectacle. Comme au stade : ça chante partout et pas seulement les virages. À Marseille, il y a des braises et il suffit de souffler dessus pour que tout s’embrase. »

Le chanteur s’est rendu plusieurs fois à la Commanderie pour tâter du ballon, dans les années 2000.

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