« Les investisseurs étrangers sont assez frileux car ils se rendent compte que ce qu’ils achètent en France sont des parts de sociétés anonymes liées par une convention d’association, qu’ils ne seront pas propriétaires du stade, que le modèle économique repose beaucoup sur des ventes de joueurs, a-t-il expliqué à Foot365. Pour le dossier de l’Olympique de Marseille, il faut un actionnaire aux poches profondes qui a envie de se faire plaisir. Une fois l’intérêt de principe émis, il y a un grand écart entre ce que souhaite récupérer l’actionnaire en place et ce que pourrait mettre un éventuel repreneur. » Il y a quelques mois, L’Équipe faisait part, avec beaucoup de certitude, d’un intérêt d’Al-Walid pour le club phocéen. Une rumeur finalement infondée.
