« On ne peut pas se satisfaire d’avoir pris trois points sur douze, reconnaît Michel. Et si on bat Bastia, on n’aura encore que six points sur quinze. On ne peut pas dire que ce n’est pas grave, parce qu’on a changé d’entraîneur, de joueurs, etc. On ne peut pas dire dans un club comme l’Olympique de Marseille qu’il faut du temps. Il y a 60 000 personnes derrière nous à tous les matches. Les résultats doivent venir tout de suite ».
Des propos qui mettent à ce jour tout le monde d’accord.