L’ancien président phocéen, auprès de l’AFP, explique n’avoir rien à se reprocher dans cette affaire. « Tout a été fait dans les règles. Tous les contrats ont été passés dans la légalité la plus absolue (…) J’ai expliqué (au juge d’instruction Guillaume Cotelle, ndlr) que tout ce que nous avons fait pendant deux années avec mon directeur général (Antoine Veyrat, ndlr) était évidemment totalement légal et vigilant. »