« Je comprends le débat intellectuel sur la copropriété de joueurs par ces fonds d’investissements, mais, à l’OM, il ne s’agit pas de cela », a-t-il expliqué. Selon lui, son rôle est resté réduit, lors du mercato marseillais : « Doyen Sports nous a servi d’intermédiaire avec d’autres clubs et avec Michel, alors tant mieux. C’est une fausse polémique, ou alors interrogez-vous sur un de nos concurrents qui a acquis un Espagnol (l’OL, Ndlr). » Ainsi, « outre l’apport en liquidités, les fonds d’investissements agissent comme des agents et permettent de nouer des relations de confiance avec de très grands clubs qui seront en mesure de nous prêter des joueurs de talent qu’ils n’utilisent pas ». Et d’après-lui, « c’est une des stratégies qui doivent permettre à l’OM de rester compétitif ».
Pour rappel, la commission de discipline de la FIFA vient de sanctionner le FC Seraing d’une interdiction de recrutement de deux saisons et de 136 000 euros d’amende. Le club de D2 belge aurait « enfreint les règles relatives à la propriété des droits économiques des joueurs par des tiers (TPO) et à l’influence de tiers ».