« Il y a une différence chez les présidents de club entre les salariés et les propriétaires. Les propriétaires ont parfois du mal à accepter qu’il y ait des managers. Ça agace Jean-Michel, c’est sûr », estime l’ancien patron phocéen. Selon lui, les deux hommes sont également « très éloignés l’un de l’autre, culturellement ». Il pense que, parfois, « cela crée une complémentarité », et d’autres fois « une opposition complète », ce qui « est le cas entre eux ». Les clashs survenus dimanche auraient pu être évités si quelqu’un était venu « pondérer les choses » : « Personne n’est venu. Ni dans un camp, ni dans l’autre. Ça crée une somme de tensions inutiles. On est arrivé à un point important, mais bon, il n’y a pas de raison que ça ne rentre pas dans l’ordre. » Il considère malgré tout qu’ « il n’y a pas de raison que ça ne rentre pas dans l’ordre ».