Au micro de RMC, le président de l’OL en a remis une couche : « On était au bord de la guerre civile, dans un état de non-droit. Pour la première fois de ma vie, j’ai eu peur. Et je ne suis pas le seul à avoir eu peur. Quand on touche à l’intégrité des joueurs, le président défend. J’ai déjeuné avec Vincent Labrune, mais il maîtrise un peu moins la communication », a-t-il déclaré.
Il ne s’agirait pas de minimiser l’influence des provocations de JMA sur la tension qui entoure les Olympico. Dommage que les instances ne prennent pas la mesure de l’impact qu’elles peuvent avoir.