« Là où je suis « rassuré », c’est que si un jour il y a un problème à Furiani, je me demande comment ces personnes-là – le président de la commission de discipline qui commente maintenant chaque affaire des grands clubs -, vont pouvoir faire jouer Bastia à Gueugnon, à Istres où je ne sais pas où. Là… Je crois qu’aujourd’hui, c’est criant. Quand on disait qu’il y avait une justice à deux vitesses, on nous traitait toujours de persécutés, de paranos. Alors, on se retranche derrière le fait que le club (de Marseille) a pris des initiatives… (Long silence). Les faits sont là. Mon objectif, c’est le Paris Saint-Germain (que Bastia reçoit samedi), mais je me suis permis de répondre à cette question parce que ça me gêne pour mon club », a-t-il expliqué aux journalistes (propos relayés par L’Équipe).
Chacun y va donc de son petit commentaire, sans se préoccuper de la notion de récidive ou de la différence de gravité des incidents qui ont eu lieu à Furiani.