« On exagère les faits qui se passent à Bastia. Je n’ai jamais vu des scènes comme à Marseille. Jamais une bouteille de verre n’a atterri sur la pelouse. On en a parlé trois jours et depuis ? Même à travers l’arbitrage, on n’est pas au même niveau », a-t-il expliqué. On se rappelle pourtant parfaitement de l’accueil houleux réservé aux fans marseillais, et dénoncé par ces derniers, à Furiani, en début de saison dernière. Quant à Nice-Bastia, auquel avait évidemment participé Julian Palmieri, il avait donné lieu à un envahissement de terrain des supporters azuréens et à une bagarre générale. Depuis combien de décennie n’est-ce plus arrivé au Stade Vélodrome ? On oublie également trop souvent qu’il est autrement plus délicat de contrôler 65 000 personnes, que 5 ou 10 000. Les mesures prises par les dirigeants phocéens sont néanmoins très fortes et on espère qu’aucun débordement ne surviendra plus.
Depuis OM-Lyon, chacun y va ainsi de son petit commentaire de mauvaise foi, afin de défendre ses intérêts. Il est heureux que la commission ne se soit pas laissée influencer.