« C’est inévitable dès lors qu’il y a beaucoup de mouvements entre deux saisons. Il y a toujours danger dans ce cas-là. Pour moi, ce n’est pas la qualité de l’effectif qui est en cause. Les difficultés marseillaises sont avant tout collectives, car une équipe n’est jamais une simple addition de talents. Toutes les synergies, les complémentarités sont à travailler, à trouver alors que la compétition a démarré et n’attend pas », a expliqué l’ancien entraîneur phocéen. Il trouve néanmoins des raisons de rester optimiste : « En même temps, Marseille a une base de travail, une référence, et cette référence, c’est le match à Paris. Sur ce rendez-vous, ils ont réussi sur pratiquement toute la durée, certes sans réussite, ce que l’on voit par bribes dans leurs matchs. Maintenant, le dire est une chose, appliquer le transfert sur toutes les rencontres en est une autre… », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le club phocéen occupe actuellement la douzième place du classement de Ligue 1, et pointe à sept longueurs du podium.
