« Twitter est à la fois une formidable source d’infos et en même temps l’inhumanité où les mecs sont des lâches, planqués derrière les pseudos. Quand tu es sur ton lit d’hôpital et que tu lis le tweet : « J’espère que tu vas crever de ton diabète », alors que je suis hospitalisé pour ça… La majorité venait hélas de Marseille », a-t-il expliqué. « Si j’étais un supporter de Marseille ? J’essayerais d’écouter et de ne pas être un débile profond à me dire : « De toute façon il n’aime pas Marseille. » Pendant des années, l’OM était le club où j’avais le plus de potes ! Il y a des choses que je ne supporte pas autour de ce club et ce ne sont pas leurs menaces à deux balles qui me feront taire », a-t-il ajouté.