Le capo des Ultras, qui était soupçonné de l’avoir installé, a finalement été relaxé des menaces de mort sur le joueur lyonnais. Il s’est notamment défendu en évoquant le contexte particulier des enceintes de football. Il a écopé de trois mois de prison avec sursis et d’une interdiction de stade de six mois pour provocation à la haine. L’OL, qui s’était constitué partie civile et qui réclamait 5000 € de dommages et intérêts, a été déboutée.