« Si Cabella est tout le temps content et qu’il ne râle pas, alors c’est qu’il est malade ! C’est un peu comme le père de la mariée, il râle très souvent, c’est le râleur du groupe. Mais cela se passe très bien avec le staff technique. S’il joue comme ça, il peut râler comme ça, mais pas trop quand même », a confié l’ancien technicien de l’Olympiakos.
Parfois, ce qu’on a de pire est aussi ce qu’on a de meilleur. On imagine que le côté râleur du milieu offensif a joué son rôle dans l’ascension du joueur au plus haut niveau.