« J’ai assisté à un match au Vélodrome à l’époque où Didier Deschamps était l’entraîneur. Il y avait un très bon joueur argentin (Lucho González, Ndlr). Aujourd’hui, les Marseillais sont déjà contents quand ils font un match nul », a-t-il déploré au quotidien. Difficile de lui donner tort : au moment du départ de l’actuel sélectionneur de l’équipe de France, le club olympien occupait la 15e place du classement UEFA des clubs. Il est désormais 40e…
On peut penser que les propos du sulfureux dirigeant traduisent assez bien la descente aux enfers du club. Il est peut-être temps de s’interroger sérieusement sur la stratégie privilégiée par Vincent Labrune !