L’Argentin a obtenu 28 points en 20 rencontres de Ligue 1. Cela correspond à 1,40 point par match (8 victoires, 38 buts marqués, 25 buts encaissés). Il faut également tenir compte de l’élimination face à Grenoble (CFA), en Coupe de France. Un bilan très médiocre, d’autant que sa démission, au soir de la première journée, est très difficile à digérer.
Celui de l’Espagnol est du même ton. En 17 matchs de L1, sa formation est parvenue à glaner 25 points. Le ratio est supérieur : 1,47 point par match (6 victoires, 28 buts pour, 21 contre). Au contraire du Rosarino, l’ancien Madrilène a connu un succès en Coupe de la Ligue. Il est aussi parvenu à se qualifier pour les 16e de finale de la Ligue Europa.
Sans tenir compte du spectacle ou des erreurs d’arbitrage, et malgré un calendrier plus chargé et un effectif bien plus faible et moins rôdé, le bilan de Michel en L1 rivalise étonnamment avec celui d’El Loco. La réussite sur l’année est même supérieure, compte tenu des qualifications pour les tours suivants de toutes les coupes.
Cela n’en reste pas moins que les résultats n’ont pas été dignes du club qu’est l’OM, en 2015. Vivement 2016…