« Ni le foot ni le monde ne sont justes. Je comprends sans comprendre. Quand on est sur la pelouse, c’est le moment du jugement. Or, très souvent, on ne te juge pas sur les quatre-vingt-dix minutes mais sur ce qui se dit autour. Je ne joue pas pour prouver à l’entraîneur, à mes coéquipiers, aux supporters, au président, aux journalistes, à ma famille que je suis bon ou pas, je joue pour me prouver à moi-même que j’ai le niveau, que je mérite d’être là », a-t-il expliqué à l’hebdomadaire. Il pense également manquer de rythme : « En octobre, je commençais à jouer. Pour être bien, il faut jouer, et pour jouer, il faut être bien. Je ne suis pas encore à 100 %, mais j’enchaîne les matchs. Je ne dirais pas que tout est parfait, mais presque », a-t-il ajouté.
Pour rappel, il a jusque-là disputé onze matchs sous le maillot phocéen, ce qui paraît juste pour porter un jugement définitif sur son niveau.
