L’option d’un accord à l’amiable en vue de la rupture du contrat qui le lie à l’OM jusqu’en juin 2017 est sur la table, mais elle ne convient pas au technicien, qui craint qu’une telle issue nuise à sa réputation, révèle le quotidien La Provence. Michel s’accroche donc à son poste, en espérant redresser rapidement la courbe des résultats pour se racheter, aux yeux de la direction du club. Une option peu probable, tant la crise qui frappe le club marseillais semble profonde. Décidé à se séparer de l’entraîneur qu’il a lui-même choisi l’été dernier, Vincent Labrune insiste auprès de l’actionnaire majoritaire Margarita Louis-Dreyfus, afin que celle-ci consente à verser la somme nécessaire au renvoi de Michel, sous contrat à l’OM jusqu’au mois de juin 2017.