« Cela nécessite un investissement très important qui n’est pas forcément dans l’intérêt social des entreprises, juge le patron, dans des propos relayés par Canal Plus. Et l’image qu’on en tire est très délicate. Vous gagnez le dimanche, vous êtes un dieu le lundi. Vous perdez le dimanche, c’est l’horreur, le lundi. Je l’ai vécu avec mon père quand il avait le Matra… Je n’achèterai pas un club, non. Jamais. Pas l’OM, non. Même si c’est gratuit. Ça peut être peu cher à l’achat, et devenir cher par la suite. Or il faut inscrire cela dans la durée. C’est un domaine très particulier… »