Dans les colonnes de La Provence, l’avocat du policier fait part de son sentiment sur cette affaire : » Ce contrat a été signé le 11 septembre 2015 (juste après un déjeuner avec le préfet de police, Laurent Nuñez, qui avait émis des doutes quant à ce mélange des genres, ndlr) et devait être effectif le 1er octobre. Il était entendu que mon client devait attendre l’avis de la commission de déontologie de la police nationale sur cette prise de fonctions en tant que chef de la sécurité de l’OM. Laquelle a donné son feu vert en novembre. Dès lors, mon client a recontacté Vincent Labrune, qui n’a plus jamais donné signe de vie «
Et d’ajouter : » Le fait est qu’il aurait fallu que l’OM le licencie. Nous considérons donc que le contrat court toujours et à défaut d’une réponse claire de l’OM dans les prochains jours sur l’exécution de ce contrat de travail, nous saisirons les Prud’hommes et demanderons le versement de tous les salaires dus, tacle l’avocat. Mon client a vécu des mois très compliqués après ce revers, au point qu’il a été en arrêt maladie. Il a subi un préjudice important… »