Dans les colonnes de La Provence, une commerçante reconnaît son appréhension à la veille du match : « Ce match donne de quoi appréhender, même si je suis plus inquiète par l’atmosphère générale avec la menace terroriste et le climat social. Mais je suis de l’autre côté et je ferme à 19h, donc je pense que je ne serai pas touchée », espère Marion, qui vient d’ouvrir l’épicerie fine La Sartine.
« J’ai plus peur d’un problème terroriste que des Anglais et des Russes, avance le responsable de la grande roue. On entretient tout ça! Il faut arrêter, nous sommes des êtres humains et on doit tous réapprendre à se respecter ! »