« À notre époque, il y avait aussi une forte attente, mais, cette année, la pression médiatique est encore beaucoup plus forte. Il y a eu un engouement populaire fabuleux dès le départ autour de l’équipe actuelle, alors que nous, on l’a surtout senti avant cette demie à Marseille. La ferveur du public du Vélodrome avait d’ailleurs joué un rôle déterminant pour nous pousser à gagner contre le Portugal alors qu’on était menés », s’est-il souvenu. 54 848 spectateurs avaient alors pris place dans les travées de l’enceinte du boulevard Michelet, ce qui a longtemps constitué un record. Le Stade ayant été rénové et agrandi, il devrait y en avoir 65 000 et l’ambiance promet d’être bouillante, pour le duel face à la formation de Joachim Löw.