« Je préfère prendre la pression et que mes joueurs sont plus tranquilles. On n’a pas eu une préparation normale et je le dis ici. Je suis obligé de protéger mes joueurs car ils ont besoin de tranquillité pour arriver à travailler. J’ai un état d’esprit de groupe exceptionnel, par rapport à ceux passés sur les quatre ans passés ici. Je sais que le résultat final sera bon, mais ce n’est pas simple non plus pour eux », a-t-il expliqué aux journalistes.
La situation ne le change pas, étant donné que tous ses prédécesseurs sont passés par là : « J’ai souffert pour Bielsa, Élie, José, Michel… Quand on est dans un groupe, on les prend pour soi aussi. C’est comme ça, on connaît le métier d’entraîneur et j’étais joueur avant aussi, je sais comment ça marche. Les critiques, ce n’est pas grand-chose », a-t-il ajouté. Il assure néanmoins « remettre en cause » son travail, avec son staff, et chercher « les détails à améliorer ».
