« Doria, je lui ai donné sa chance en préparation et il a gagné sa place. C’est salutaire. Pour avoir été recruteur, on sait que les Sud-Américains peuvent mettre deux ou trois ans avant de s’adapter à l’Europe. C’est son cas. Il n’était pas prêt, il n’aurait pas dû arriver en star. Mais en étant le capitaine de la sélection U21 du Brésil, il est arrivé avec ce statut. Tout le monde pensait que c’était un joueur mature, mais il n’a que vingt et un ans », a-t-il expliqué au journal. Quant au Portugais, il ne considère que son style de jeu ne s’adapte pas à l’animation qu’il privilégie : « Pour Rolando, j’ai fait un constat par rapport à l’an dernier et à une certaine façon de jouer. On savait tous les deux où on allait », a-t-il ajouté.