« C’est mon petit ! Après le dernier match, à Clermont, il m’a dit dans le vestiaire : « On est assis, tranquilles, et ça fait quinze minutes que tu me casses la tête. Dis-moi quand même que j’ai fait un bon match ! » Je lui ai répondu : « Tu le sais. » Mais il y a des petits trucs que je lui dirai tout le temps : pour faire partie de l’élite, tu dois être présent sur tous les matchs. Sur quatre-vingt-dix minutes, il va perdre sa concentration pendant quelques secondes, rater des choses faciles. Et moi, dans ces moments-là, je serai là. S’il fait 10 petites erreurs par match, il passera à neuf, puis à huit… À deux ou trois, il sera un grand. Il écoute bien, je l’aime beaucoup. J’espère qu’il va arriver très haut car je veux son maillot du Brésil dédicacé », a-t-il expliqué.
Écarté par Marcelo Bielsa, Matheus Doria s’est refait la cerise, avec Franck Passi. Il a notamment exprimer sa capacité à s’imposer dans les duels. Il lui reste désormais à gagner en constance, à améliorer son placement et à se débarrasser du côté nonchalant qui l’a pénalisé sur certaines actions, lors des dernières sorties.
