« On n’a pas toujours tous les codes. Quand on ne le sait pas, qu’on n’est pas au courant de ce qui s’est passé entre les supporters… Je comprends qu’ils aient pu être offusqués. Tout est réglé, tout est rentré dans l’ordre. Bafétimbi n’avait rien dit de mal. Chacun doit rester naturel et spontané. On peut avoir le coeur ciel et blanc et avoir de l’affection pour ceux qui vous ont aidé. Saint-Étienne l’a aidé à soigner son père. (…) La manière dont on a géré les choses nous regarde nous, je peux juste vous dire que ça s’est fait en intelligence, comme dans une famille. Il y a des choses qui se disent pas, qui se discutent à l’intérieur de la maison », a-t-il confié aux journalistes.
À titre personnel, il se réjouit de retrouver Dijon : « Il n’y a pas d’inimités entre Marseille et Dijon ? (rires) Ah ça va, je peux dire du bien de Dijon. On a marché main dans la main pendant cinq ans. J’ai beaucoup appris de Robert Nouzaret. De son côté bâtisseur. On a beaucoup et bien travaillé. On avait pour objectif de faire un club professionnel, et c’est ce qu’on a fait. Leurs structures sont encore celles que l’on avait mises en place. je verrai beaucoup de visages amis, que ce soit dans leur staff ou ailleurs. Pendant le match, on sera adversaire, et après le match, nous serons des gens qui se sont appréciés et qui continuent de s’apprécier. »