« À Grenoble, on lui avait dit qu’il était perdu pour le football à cause de ses problèmes de dos, et il a réussi à rebondir. Il ne s’avoue jamais vaincu », s’est-il remémoré. Il pense que ce trait de caractère explique sa progression à l’OM, malgré les difficultés auxquelles il s’est heurté : « Après une bonne saison à Bastia, il y a eu ce bras de fer avec Lille, puis Marseille. Tout a été vite. Il a peut-être eu tendance à s’éparpiller. Il a fallu qu’il comprenne. (…) Il a cette faculté à aller dans le un-contre-un. C’est sa force, mais il l’utilise à bon escient. Il est plus limpide dans son jeu », a-t-il ajouté.