« Je ne le vois pas arriver. Il salue le coach. Je ressens de l’émotion, a-t-il expliqué. Pour Bafé, on a clairement pris des risques. Ils sont calculés, liés à la confiance. On va au-delà des livres de médecine. Sinon, il n’aurait pas joué. Si on propose de la qualité, les joueurs, le staff ou l’institution nous rendent des émotions, souvent de façon imperceptible. Bafé se trouvait dans une mauvaise passe. Il sortait de l’histoire avec les supporters après Saint-Étienne. Elle l’avait vraiment attristé. Je sentais que tout était mêlé, que sa blessure n’était pas revenue par hasard. Dans ce cas-là, on ne soigne pas que la blessure ou l’IRM, mais aussi l’humain. »
Où en serait cet OM sans Gomis ?