« Il était parti d’un très bon pied. Son équipe avait cet enthousiasme que t’apportent les victoires, elle jouait un beau football. Rudi a bien bossé, y compris sur le plan des résultats, avec deux belles places de deuxième (2014 et 2015). Mais, à un moment, il a connu des difficultés et a vu s’enclencher les mécanismes dont je viens de parler », a-t-il expliqué. Le technicien italien estime effectivement qu’il est plus difficile pour les entraîneurs étrangers de prendre en main l’équipe du club de la Louve : « On en a vu passer. Et de très bons ! Mais pour eux, ça a été encore plus compliqué car ils ont dû subir une pression dont ils n’avaient pas forcément idée en débarquant ici. »
Une expérience qui devrait aider l’ancien Lillois à appréhender les attentes liées au banc de l’OM.