« Hatem, c’était un personnage à part, s’est-il souvenu. Au-delà du joueur, il y a l’insouciance. Et c’est ce qui faisait aussi sa force. Il ne faut pas le voir comme un fauteur de troubles. C’est juste qu’on en fait toujours des caisses avec lui parce que c’est un joueur dans lequel on place beaucoup d’attentes. La moindre erreur qu’il fait, elle est amplifiée chaque fois. Je considérerai toujours Hatem comme un gamin capable te de faire rêver sur un terrain de foot. Il manque parfois d’un peu de conscience, mais c’est aussi ce qui fait son charme. »