« Il pique peut-être un peu du nez, mais ce n’est ni anormal ni inquiétant, explique l’ancien coach marseillais. Préparer un match de CFA ou un match au Vélodrome, ce n’est pas le même métier. Il y a la fatigue physique, mais il y a aussi la fatigue nerveuse, psychologique. S’il a un progrès à faire, c’est peut-être de se disperser un peu moins. On connaît le proverbe : à être partout, on est parfois nulle part », a-t-il estimé.