« En jouant, j’ai plus gagné que perdu. Je n’ai pas le temps de gamberger. il ne reste que six matchs. J’ai hâte de jouer dimanche », a-t-il estimé. Il espère désormais démontrer qu’il a le niveau pour s’imposer dans l’équipe phocéenne : « Ma vie est faite de challenge, on ne m’a jamais rien donné. Je sors d’une famille de 24 frères et soeurs. Donc je ne vais pas me stresser pour un match de football. (…) Ce qui se passe autour de moi, franchement, c’est vraiment pas important. » Le jeu particulièrement physique prôné par les équipes de Ligue 1 ne l’inquiète pas particulièrement : « J’ai joué en Angleterre, c’est un match de boxe, en Italie, c’est un jeu d’échecs. J’ai la chance de m’adapter à tous les championnats. Le championnat de France est très athlétique, il manque un peu de bases tactiques mais j’espère que cette année, l’année prochaine, le niveau du championnat de France sera encore plus élevé. »
Enfin, il compte bien renouer avec la victoire, dès dimanche : « On a bien bossé cette semaine. On veut vraiment prendre mes trois points face à Saint-Étienne. C’est un état d’esprit de bosseurs, de guerriers. »
