« Je ne crois pas que c’était son intention, mais son implication a pu être traduite par certains comme un besoin de lumière. Sa communication a parfois été maladroite. On ne lui a pas forcément dit de se taire, mais il a compris qu’il était préférable que chacun se cantonne à sa tâche. Ce n’est jamais bien vu d’être de toutes les batailles », a expliqué un ancien salarié de l’OM au Parisien. Il entretiendrait néanmoins de bonnes relations avec Jacques-Henri Eyraud, le président phocéen.