« On rigole souvent avec lui. Je lui ai dit que lorsqu’il arrivait dans la surface, il ne faisait que des passes, mais là, il commence à frapper, il aurait pu marquer contre Caen, a-t-il confié aux journalistes. À l’entraînement, il y parvient. Il est trop respectueux. Parfois, le meilleur choix, c’est de tirer, pas de donner. Je ne peux pas dire du mal de lui, c’est le gars le plus gentil avec qui j’ai joué. C’est dur de changer les mentalités, mais il maîtrise mieux le français, il va finir par marquer. »