« La relation Jacques-Henri, Rudi et moi marche bien. On peut avoir des divergences, mais c’est pareil chez moi avec mon épouse, a lâché l’Espagnol dans La Provence. On travaille ensemble, on prend les décisions ensemble. Chacun peut avoir un point de vue différent. Mais on essaie qu’à la fin la décision soit celle de l’OM même si quand j’arrive à la maison, je peux avoir une interprétation plus personnelle. Dans cet équilibre, je me sens bien, je sais où est ma place. J’apprends la manière dont sont structurés le football français et le club, ce que signifie un président ou un entraîneur en France. »