Elliot Grandin (2008)
José Anigo le comparait à Mathieu Valbuena. Pour autant, la ressemblance n’a pas paru flagrante, tant en termes de jeu que de caractère. Le Caennais avait un certain potentiel mais n’a pas su concrétiser les espoirs placés en lui.
Son bilan : 22 matchs, 3 buts.
Salim Arrache (2007)
Le Franco-Algérien est arrivé à Marseille après être resté sans club pendant plus de six mois, suite à une rupture des ligaments croisés. Un pari incompréhensible qui n’a jamais porté ses fruits. Il n’a tout simplement jamais affiché le niveau requis pour jouer dans le club phocéen.
Son bilan : 15 matchs.
Koji Nakata (2005)
On se souvient du Japonais pour le geste technique déroutant auquel il s’était essayé, sur la pelouse enneigée de Geoffroy-Guichard. Pour le reste, il n’a pas su élever son niveau pour gagner sa place dans le onze de l’époque.
Son bilan : 15 matchs.
Cyril Chapuis (2002)
Le natif de Lyon sortait d’une saison plutôt réussie à Rennes (10 buts en 32 matchs). Il est finalement devenu la risée du Vélodrome. Très maladroit, il est resté un an et demi avant d’être prêté à Leeds United, où les supporters rêvaient d’un nouvel Éric Cantona.
Son bilan : 49 matchs, 6 buts.
Dimas (2002)
Au moment d’écrire son nom, on se demande si cet international portugais né en Afrique du Sud est vraiment passé par l’OM. Il a passé cinq mois à faire du tourisme sur le Vieux Port.
Son bilan : 5 matchs.
Jean-Pierre Cyprien (2000)
Associé à Franck Dumas, en deuxième partie de saison 1999-2000, l’ancien défenseur des Verts est complètement passé au travers de son expérience marseillaise. Il a vite gagné sa place sur le banc de touche et n’en a plus bougé.
Son bilan : 11 matchs.
Cyrille Pouget (2000)
Le but qu’il a inscrit lors du Clasico ne masque pas les prestations très insuffisantes qu’il a réalisées sous le maillot de l’OM. Le duo reformé avec Robert Pirès n’a pas fonctionné et il a été loin de compenser les départs de Fabrizio Ravanelli et Christophe Dugarry.
Son bilan : 29 matchs, 6 buts.
Exemples à ne pas suivre ! Espérons qu’Andoni Zubizarreta et sa cellule de recrutement sauront dénicher la perle rare, en janvier.