Face aux médias, le défenseur a commenté la situation de l’attaquant : « Faire part de mon expérience à Mitroglou ? Cela fait partie de mon boulot ici. C’est un club spécial, Marseille. Tu dois le vivre pour le connaître. Pour Kostas, c’est difficile d’apprendre la langue, et tout ça. Il est arrivé blessé. Je suis l’un de ceux qui parlent plus avec lui. C’est normal, j’ai joué au Portugal, et on se connaît pas mal. Lui aussi est expérimenté et il sait ce qu’il doit faire pour passer cette période-là. »
Mitroglou peut marquer à « n’importe quel moment »
Le défenseur a confiance en l’ancien Lisboète : « C’est un gars qui ne parle pas trop. Il aime rester dans son coin. Mais je le connais plutôt bien : je sais qu’à n’importe quel moment, il peut mettre le but. Je suis tranquille, il sait qu’il peut faire mieux. La confiance va venir », a-t-il ajouté. Avant de revenir sur la spécificité olympienne : « On est en janvier, il y a le soleil. C’est un peu comme à Naples. C’est différence d’ailleurs. Les gens, les supporters vivent pour le club. Avec les bons et les mauvais côtés que ça représente. »
