« En France, on a un très grand club qui investit beaucoup, le PSG. Donc, on est tous derrière, en train d’essayer de lui courir après. Et donc on se met évidemment quelquefois en difficulté. Le fair-play financier est là pour éventuellement mettre un peu de régulation dans ce genre de choses », a-t-il confié au micro de RMC.
« L’OM travaille très bien et investit beaucoup »
Le président lyonnais n’était pas informé de cette situation : « Je ne connaissais pas cette information, mais je suis à moitié surpris, car l’OM travaille très très bien et investit beaucoup. Il faudra suivre et surtout, je pense, aller dans ce qu’a évoqué le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, c’est-à-dire l’équilibre compétitif. C’est-à-dire définir un certain nombre de règles qui permettent à tout le monde de participer à la compétition, mais sans avoir à perdre trop d’argent, ce qui met en difficulté les autres. »
De belles paroles qui n’effacent pas la position qu’il avait prise lors de la réforme de la Ligue des Champions, en 2016. Elle faisait la part belle à l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre et l’Allemagne et JMA a alors été accusé de l’avoir joué « perso ». Et s’il a depuis changé son fusil d’épaule, Lyon, comme l’OM, paraît aujourd’hui la subir.