Dans les colonnes du Monde, Jacques-Henri Eyraud a confirmé de rien lâcher vis-à-vis des conseillers jugés douteux : « On a érigé en principe le fait de dire non à un joueur parce que son entourage n’offre pas les conditions suffisantes sur le plan réglementaire », a confié le président olympien au journal. Andoni Zubizarreta aurait d’ailleurs recalé plusieurs joueurs, dont « un très bon latéral gauche », en raison de leurs conseillers. « Je suis la seule porte d’entrée à l’OM », a rappelé l’Espagnol.
« Une quinzaine d’agents » sont ainsi indésirables dans le club phocéen, selon le président. Les dirigeants ont (facilement) fait le ménage que certains se faisaient fort d’annoncer impossible, ces dernières décennies.