« Le public de connaisseurs fait la distinction entre un match perdu et un match abandonné. Et dernièrement, on n’a pas eu l’impression que les joueurs terminaient comme les skieurs de fond, qui s’écroulent les bras en croix, le nez dans la neige en passant la ligne d’arrivée… Si tu lèves le pied, que tu mets les mains dans le short et que tu commences à faire douze passes latérales en repartant de derrière, tu montres que t’as la pétoche. Ce sont des signaux. À Saint-Étienne, le match était bien meilleur à ce niveau-là, il y a eu un pressing constant sur tout le terrain », a estimé l’ancien patron marseillais dans L’Equipe du jour.