Selon La Provence, les charges retenues contre lui pour « abus de biens sociaux, complicité et association de malfaiteurs » sont « insuffisamment caractérisées ». Il retrouve donc un statut de témoin assisté. Pour rappel, Philippe Perez, Pape Diouf, Jean-Claude Dassier, Antoine Veyrat et Julien Fournier ont également bénéficier d’un « retour en arrière ».
« C’est une décision cohérente, parfaitement motivée en droit comme en fait et qui rend justice à José Anigo », a indiqué son avocat, Maître Emmanuel Molina, au quotidien. Et d’ajouter : « Il a toujours contesté avoir commis quelque infraction que ce soit. » Pour rappel, l’enquête a été ouverte par Christophe Perruaux et Thierry Azéma, en 2011.