« Certains préfets font des efforts pour nous aider. (…) Par contre, certains préfets sont difficiles à comprendre, comme celui de Gironde », a déclaré le directeur général de la LFP dans les colonnes de L’Equipe. Il paraît agacé par les changements d’horaires incessants, la Ligue n’ayant pas le dernier mot dans les discussions : « Soit on trouve un accord avec le préfet, soit il prononce un intérêt d’interdiction du match et nous oblige donc à le reporter. »
« Nous refusons les demandes de report »
Et d’ajouter : « Certaines préfectures en font trop. Autant, pour le premier week-end des gilets jaunes, nous n’avons pas voulu mettre à risque l’ordre public. Mais maintenant, avec la prolongation du mouvement et les décisions prises qui sont difficiles à comprendre, nous refusons les demandes de report et nous négocions. »