« J’ai horreur de gaspiller de l’argent. On ne surpayera rien mais on ne va rien sous-payer. Notre difficulté était que nous avions des ambitions supérieures à nos moyens financiers. Vous êtes alors obligé d’être dur. (…) Il n’est pas question qu’on entre dans une stratégie de pari, où on investit 100 millions la première année en priant pour être en Ligue des Champions. Et si on n’y est pas… Des clubs ont choisi cette stratégie et on voit où ils en sont aujourd’hui. (…) On est dans la continuité de ce qu’on a fait avant. C’est une étape supplémentaire, il n’y a pas de raison de dire : ‘Badaboum, dans trois ans, Paris, tenez-vous bien, on est derrière… »
Malgré ce petit tacle lancé à l’OM, on rappellera à Julien Fournier que depuis deux ans, Nice a toujours terminé le championnat à une place inférieure à celle de Marseille, malgré son arrogant « on voit où ils en sont aujourd’hui » : devant Nice, oui.