« Je ne connaissais ni le coach, ni la personne. Quand un étranger arrive, tu es toujours dans l’inconnu, même si c’est le cinquième entraîneur que j’ai depuis que je suis à l’OM, a-t-il rappelé dans les colonnes de La Provence. Tout nouveau tout beau, je l’ai déjà vu. Au début, tu es optimiste, puis certaines choses s’essoufflent avec le temps. Avec lui, je n’ai pas l’impression d’être dans cette trajectoire. Il apporte de la nouveauté, de la fraîcheur, encore et toujours. On a vu le contraste entre le match de Brest (2-0) et celui à Angers (0-2). Ce n’est pas le même football, mais la finalité est la même : on gagne les deux grâce au coaching, et aux joueurs, évidemment. Mais le coach nous fait gagner tactiquement. »
« Ça me fait rire quand je le vois liker mes photos »
« Il y a la confiance aussi, un élan grâce à la série de victoires. Avec son âge, il y a aussi de la proximité, davantage de psychologie, a-t-il poursuivi. Ça me fait rire quand je le vois liker mes photos sur Instagram ou publier des stories. Ça fait partie de sa personne, c’est naturel. Et puis dans sa communication, il est parfait. Tu sens direct que c’est un mec entier. Il a la même attitude envers ceux qui jouent et ceux qui ne jouent pas, la même considération pour tout le monde. Il explique tout, essaie d’améliorer les choses. Pour l’instant, c’est le coach parfait pour l’OM. Maintenant, il faut rester dans nos objectifs. On a envie de faire un 6/6 avec la réception de Bordeaux. »
On espère évidemment que les joueurs phocéens ne vont pas s’enflammer et que cette embellie va se poursuivre.