« Amavi, au début, je ne sais pas ce qu’il a eu, mais depuis trois matches, il est bon. Peut-être que d’aller un peu sur le banc, ça lui a fait du bien. Tu sais qu’ici, à Marseille, on ne pardonne rien, mais quand tu travailles comme il faut, les gens, ils le voient. Et là, ils voient », a lancé l’ancien défenseur gauche à La Provence.
Amavi est passé de l’obscurité à la lumière. A lui de faire en sorte d’y rester et de retrouver des ambitions internationales.