« Il faut reconnaître un truc à (Igor) Tudor : il a des couilles ! » a débuté Pierre Ménès avec son franc-parler habituel. « Le mec est contesté, conspué par le public du Vélodrome à l’annonce de son nom… Et il commence son premier match en laissant (Dimitri) Payet sur le banc. Le mec sait ce qu’il fait et c’est à mettre à son crédit. Derrière, l’OM a fait un match très différent par rapport au jeu proposé par (Jorge) Sampaoli. (…) C’est plus direct, ça se projette plus vite devant, il y a beaucoup de pressing. »
Cela dit, Pierre Ménès confie que la tranquillité dont dispose actuellement le Croate, après sa première victoire, peut ne pas durer : « Je ne dirais pas que cette victoire a tout gommé pour Tudor mais ça lui achète du crédit pour les semaines à venir. Cela va lui permettre de travailler un peu plus sereinement… si c’est possible à Marseille. »
L’OM va successivement jouer contre Brest, Nantes, Nice et Clermont, en août, en L1.